Toulouse : un festival du film pour l’environnement

Le festival FReDD, festival international du film d’environnement se déroule à Toulouse du 10 au 20 avril 2019. Cet événement a pour vocation de sensibiliser la population au développement durable, à l’aide de productions audiovisuelles.

Le festival international du film d’environnement est organisé par l’association FReDD : « Film, recherche, développement durable ». En diffusant des films sur le développement durable, l’association invite au débat. Durant cet événement, sont diffusés des courts et longs métrages, ainsi que des films d’animation et des documentaires. Ces derniers sont tous en compétition. La remise des prix aura lieu au cinéma Gaumont Wilson le 20 avril à 19h30 et clôturera le festival.

Le collectif a choisi le thème « Biodiversité, mon amour ». C’est le film « Grande-Synthe, la ville où tout se joue » qui a ouvert l’événement. Il sera diffusé au cinéma ABC à Toulouse, et présenté par sa réalisatrice, Béatrice Camurat Jaud.

Placer l’écologie au cœur de la politique locale

L’événement est en accord avec l’actualité et les prises de consciences collectives citoyennes en matière de développement durable. De ce fait, la politique locale toulousaine est au cœur des débats écologiques dans ce festival. Antonin Haddad, directeur du festival international du film d’environnement explique au Journal Toulousain que « Ce n’est pas la ville qui a fourni le plus d’efforts ces dernières années mais, depuis deux ans, nous observons quand même un engagement des élus locaux. C’est donc positif ».

Les films ne sont pas le seul vecteur du développement durable dans ce festival. En effet, d’autres animations sont au programme. Les festivaliers sont invités à assister à des concerts, expositions, conférences et autres rencontres professionnelles, qui balayent une bonne partie de la ville de Toulouse.

Le journal La Dépêche détaille certains films et débats qui ont eut lieu. Il mentionne par exemple «Le Temps des forêts», documentaire de François Xavier Drouet ou encore «L’Illusion verte», de Werner Boote.

Auteur de l’article : EcoloBizz

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