Cette semaine, mercredi 28 février, se tenait la dernière édition de la Journée mondiale sans Facebook. L’occasion de lâcher un peu de lest…
L’influence qu’exerce le premier réseau social du monde sur les humains est phénoménale, mais surtout inquiétante.
En quelques années, Facebook est devenu inévitable, avec plus de deux milliards de comptes inscrits. Si bien que les gens, et en particulier les jeunes qui n’ont pas connu la vie avant Facebook, perdent leur énergie et leur temps sur le réseau social, où il passe un temps fou.
Laisser de côté la vraie vie pour une vie virtuelle plus facile à maîtriser, tel est le risque psychologique d’une utilisation frénétique de Facebook.
Sans parler des dangers pour notre intimité, entre la géolocalisation et le tracking, Facebook est devenu le plus gros flic du monde, qui collecte des données personnelles souvent intimes de la population planétaire.
Face à ce phénomène, une journée sans Facebook ressemble à une goutte d’eau dans l’océan.
Elle a au moins le mérite de sensibiliser sur cette question.